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Reflets du Passé

Actualité de l'auteur et de sa collection aux éditions Dualpha, ayant vocation à exhumer des textes toujours d'actualité. Thèmes abordés : Magie,illusionnisme, prestidigitation, ésotérisme. Pour tous contacts avec la rédaction de ce blog, pour poser vos questions, et pour être averti de nos nouvelles mises en ligne : refletsdupasse@gmail.com Attention tous les textes mis en ligne sur ce blog sont soumis au Droit d'Auteur.

mercredi 19 août 2015

1 MILLION de visiteurs.


A l’heure d’une crise généralisée de l’édition et du lectorat, le choix d’écrire des notices sur un blog s’est posé.
Le traitement (par des spécialistes) de la prestidigitation déjà proposée en amont sur le web n’était-il pas suffisant ?
Le ton, les sujets, l’iconographie, et les outils mis à disposition par Google, semblent avoir généré (pour le moins) une certaine curiosité de la part des internautes du monde entier.
Après des débuts balbutiants, l’ancrage dans l’univers magique de Reflets du Passé s’affirme dans la durée, preuve de l’extraordinaire réactivité du support informatique.
Un grand merci à tous les amis lecteurs et visiteurs, épris de curiosité (amateurs, professionnels, collectionneurs, bibliophiles, conservateurs de musées).
Quelques chiffres concernant les pages vues (par volumes et par pays) :
France : 297259.
Allemagne : 157363.
Pologne : 92775.
Pays-Bas : 86125.
Etats-Unis : 85724.
Roumanie : 28314.
Royaume-Uni : 16527.
Suisse : 12035.
Suède : 11863.
République Tchèque : 10285.
Sans oublier la Chine, la Corée, l’Iran, la Russie, le Canada, la Bulgarie.
Animer un blog c'est surtout s'enrichir du savoir (et de la culture) des autres à travers les échanges (courriers, témoignages).
Une expérience sur le vécu et le partage vivement recommandée !

mardi 18 août 2015

HARRY HOUDINI et le 9e ART.

Lorsque le célèbre dessinateur français de bandes dessinées Jean Graton (abandonnant temporairement son héros Michel Vaillant) rencontre le monde de la prestidigitation, cela s’illustre dans une histoire contée par le journal de Tintin (n° 325) publié en 1955, dans laquelle Harry Houdini devient un héros et dont la vie mouvementée et fantastique est décrite pour un lectorat de 7 à 77 ans.

Une figure de la magie que l’on retrouvera dessinée à maintes reprises dans :
- Super Magician en 1946,

- True Comics n°58 en 1947.

- Illustrated Story Of Magic, la vie de Harry Houdini par George Evans et Gray Morrow, en 1960.

- True Comics and Adventure Stories 1, en 1965,
Puis (identifié à l’égal des super-héros) :
- Batman contre Houdini : The Devil’s Workshop 1, de Howard Chaykin, John Francis Moore, et Mark Chiarello, en 1993.

- Daring Escapes 2, en 1998 (à la gloire des escapologistes).

- Ripley's Believe It or Not ! mettant en situation Houdini et Raspoutine en 2002 (série Dark Horse).

- Secret Adventures of Houdini, de Todd Hunt, dessiné par Sean Von Gorman et Michael J. Dimotta (couverture), en 2012,

- Sherlock Holmes contre Harry Houdini de Anthony Del Col, Conor Mc Creery et Carlos Furuzono, en 2014.

Rien d’inattendu dans cette présence magique, puisque le prestidigitateur américain avait développé dès les années 30 :
- Red Magic, sous-titré : Houdini magic, un journal dit « premium comic book cryptography », s’adressant à la jeunesse (une cible clairement identifiée à travers sa communication) à travers des dessins.

Une manière probable d’anticiper l’afflux post-mortem de toutes ces bandes-dessinées.
Bibliographie :
Richard Raczynski, Un tour du Monde de la Magie et des Illusionnistes, Dualpha, 2011.

lundi 17 août 2015

INCENDIE (1896).


Albert Ferdinand Guyot (1853-1937) artiste complet : peintre en miniatures, chanteur, compositeur, poète, prestidigitateur français (domicilié à Le Plant - Champigny-sur-Marne) dit Monsieur de Thorcey.
Il se fera connaître successivement (dans l’histoire de la magie moderne, comme un spécialiste du mentalisme) puis avec le titre de « manager » ou d’impresario (dont Arnould, puis Inaudi, 1867-1950) et surtout comme un brillant entrepreneur de spectacles (dépôt du brevet n°217936 sur une durée de quinze ans, le 8 décembre 1891 par Guyot dit de Thorcey, représenté par Maître Armengaud Jeune, à Paris, boulevard de Strasbourg, n° 23. Genre de cirque démontable et transportable)*.
Il fut magnétiseur et hypnotiseur (Folies-Bergère, Eldorado) et connu un accident dans un acte où figurait trois lions, où une assistante (qui avait remplacé son épouse) perdit une jambe (in La Justice, 27 octobre 1902).
L’épouse de Thorcey allait connaître un autre épisode dangereux quatre ans plus tard :
Alors qu’il administrait une baraque foraine de photographies animées, cette dernière prit feu en juin 1886 à la foire du Mail (à Orléans).
Un article du Républicain Orléanais daté du 18 juin 1896 relate les faits.
On y présente Georges Méliès et Jacques Inaudi comme co-propriétaires de ladite baraque (mais absents lors des représentations).
Probablement faut-il lire ici une « association » commerciale de Méliès avec le monde forain, propagateur et vulgarisateur de ses films et de ses inventions (successives).
Ainsi Méliès illustrera ce type de montage financier avec la dynastie de banquistes Klatt.
14 bandes en celluloïd (hautement inflammables) seront détruites par les flammes, sous les yeux de l’opérateur, Monsieur Ducros.
S’agissait-il de vues du théâtre Robert-Houdin ?
« Parmi le personnel des lieux, citons Madame de Thorcey qui faillit mourir asphyxiée » comme le rapporte l’article publié dans Le Rappel (reproduit ci-dessous) daté du 21 juin 1896.
Cette épouse qui fut du voyage au Pays de Galles (aux côtés de son époux) en 1858 à Monmouthshire.
Albert Ferdinand Guyot fut brûlé à la tête, aux mains et aux jambes.
* Bulletin des lois de la République française, premier semestre 1893.
Bibliographie :
Richard Raczynski, Un tour du Monde de la Magie et des Illusionnistes, Dualpha, 2011.
Notre Ville (Bulletin municipal de Champigny-sur-Marne) n°469, février 2014.
Sources diverses :
Cote : DSN 974 - G. de Thorcey - 1er septembre 1925 – 2 pages, Lettre autographe signée,
Legs Youki Desnos et don de H. Espinouze.

PASCAL AJAX (en 1913).


Prestidigitateur amateur français.
Lauréat du concours annuel de la Chambre Syndicale du 1er juin 1913.
Chroniqueur dans la revue L’Illusionniste (l’énigmatique « Prestidigitateur masqué »), auteur d’une série intitulée : « tours à usage des fumeurs ».
Derrière le pseudonyme de Pascal Ajax se dissimulait un scientifique adepte de la prestidigitation, brillant manipulateur (cartes, foulards, boules) et inventeur (Le journal Caméléon).
Bibliographie :
Robert Veno, Cours Magica, Vol. XI., 1954.

vendredi 14 août 2015

GUIDHERY.


L’illusionniste Français Guidhéry (né Guy Guiblain en 1929) débute en duo (avec Rodolphe) dans « Les Milords ».
Assurant les premières parties de nombreuses vedettes de la chanson (Dick Rivers, Aznavour, Brel, Dalida, Enrico Macias,) et faisant les beaux soirs de nombreux cabarets mythiques de la capitale (l’Olympia, le Don Camillo, le Moulin Rouge).
« Le Maître du mystère » partira se produire lors d’une tournée (initialement pour une durée de trois semaines) sur l’île de la Réunion (en 1970) débutant à Saint-Pierre.
Un territoire qu’il choisira de ne plus jamais quitter, devenant « Le sorcier blanc », une figure majeure de l’Art Magique, rayonnant dans tout l’océan Indien.
Il n’hésitera pas à se présenter sous les traits terrifiants d’un Freddy (échappé des griffes de la Nuit) pour accomplir des effets saisissants.
Un extraordinaire artiste au répertoire moderne (tout au long d’une riche carrière entamée il y a cinquante ans) et aux multiples programmes, à redécouvrir, citons : le fantaisiste de l’illusion, cartomancie, radiesthésie, chiromancie, l'homme zig-zag (corps découpé en plusieurs partie dans un caisson), « le professeur Ramine Agrobis et ses chirurgiens diaboliques », La femme sans tête (Ulla), la tête vivante sans corps, la femme araignée (une araignée géante avec une tête de femme), la femme brûlée, et la femme découpée à la tronçonneuse…

EGON LOWINI (Edmund Laustern).


Illusionniste (ombromanie) allemand des années 1900-1920.
Sa carrière débute en Allemagne (avec son programme Boyes variété présenté à Berlin) à l’Europe vers la Belgique, la Suisse (Lausanne, le Kursaal du 12 au 17 janvier 1906).
En France, il se produit au théâtre des Variétés de Béziers, le 7 décembre 1906 où il est présenté comme un manipulateur très original au « colossal succès », à Lyon (en 1907), se présentant comme « Lowini, le fameux prestidigitateur de l'Olympia de Paris » (à La Scala).
Un Olympia de Paris dont il occupera la scène (par intermittence) durant une année.
Source : Lot n°285, E. Lowini, Lithographie, Atelier Conrad Ernst. Berlin, vente collection Christian Fechner, Gros & Delettrez.
(Le prénom n’est pas notifié).
Bibliographie :
Conradi, Der Zauberspiegel : Fach-Zeitschrift für Salon-Magie, Vol. IV, 1899.
Richard Raczynski, Troisième Tour du Monde de la Magie et des Illusionnistes, Dualpha, 2013.

jeudi 13 août 2015

PROGRAMMES of MAGICIANS (1907).


Un ouvrage incontournable pour tous les bibliophiles avertis :
Le fascicule de 40 pages de J.F. Burrows édité par L. Davenport & Co., (Demon Series) à Londres (s.d., donné pour 1907) revient (et reproduit) 42 années de scène magique à travers 70 programmes s’échelonnant de 1864 à 1906.
James F. Burrows (1867-1934) signera aussi avec le pseudonyme Karlyn.
Il fut un prestidigitateur londonien professionnel.
Ses ouvrages paraîtront dans différentes maisons d’éditions anglaises, dont : Hamleys, The Magician office, Daisy Bank Publishing Company.
Index (alternant fac-similés et copies) de Programmes of Magicians :
1864-1893 :
De Vere,
Oscar S. Teale,
Prof. Hoffmann,
Hermann the Great,
Robert Heller,
Warren Wright,
Professeur Duval,
Signor Bosco,
Professeur Fuller,
M. Kellar,
Verbeck,
Prof. & Maude Anderson,
Professeur Anderson (le fils),
Herr Frikell,
Docteur Holden,
Professeur Hoffmann,
Bautier de Kolta (pour Buatier de Kolta né Joseph Buatier),
Herr Dobler,
Hartz,
Professeur Devono,
Professeur Duprez,
Docteur Lynn.
Servais Le Roy,
Hercat,
J. N. Maskelyne,
Harry Kellar,
Imro Fox,
Professeur Hulbert,
David Devant,
Professeur Weber,
Charles Bertram,
Professeur Geo. Davinson,
Docteur Nix,
Professeur St. Clair,
Fred Harcourt,
Chevalier Thorn,
Chas. Karnak,
De Beire (Arnold),
Paul Valadon,
Chas. Morritt,
Melot Herman,
Carl Hertz,
Martin Chapender,
Chung Ling Soo,
Joad Heteb,
Carl Devo,
Max Sterling,
Okito,
Le Roy, Talma & bosco,
Horace Goldin,
Howard Thurston,
Prince Ismael,
Houdini,
Hardeen,
Nelson Downes,
Wandrie,
Penstone & Tsaou-ngo,
Arthur Margery,
Ellis Stanyon,
H. J. Holland,
J. F. Burrows,
Cecil Lyle,
Carmo,
Dante,
Levante.
Auteur de :
Some New Magic, 1904.
Programmes of Magicians, 1907.
The Stage Artis, l912.
Sous le pseudonyme de Karlyn :
Stage Hypnotism, Stage Electricity and Bloodless Surgery, 1914.

mercredi 12 août 2015

La femme coupée en trois.


Superbe carte postale, mettant en scène Madeleine Borosko (décédée le 9 décembre 1974), l’épouse du professeur Borosko (magicien suisse, né Jules Sautebin, 1879 – 1967, inventeur) : « La femme coupée en trois ».
Sur la vie de cette artiste, se reporter à la notice nécrologique publié In Le Journal de la Prestidigitation, n°302 bis - janvier - février 1975.
Avec son mari, elle composait : « Les Borosko, Magiciens modernes, inventeurs, créateurs ».
Le cliché est signé Combier - Mâcon, une société fondée avant la première guerre par Jean Combier (qui deviendra célèbre en popularisant les vues aériennes), dont la production, échelonnée entre 1907 et 1982, proposera plus de deux millions de cartes postales.

MERYSKA (de 1910 à 1929).

La carrière de l’artiste belge « Miss Meryska » l'incompréhensible et de sa mystérieuse chienne voyante Poupée « qui sait tout, devine tout, connaît tout », connaîtra son apogée dans les années 20.
Elle se produira à Paris en 1917 (à l’Olympia et à l’Empire), au Havre en 1918, à Paris (cirque Medrano, passage relaté dans Le Figaro) en 1922 (Petit Casino), en 1924 (in le Nouveau-Cirque, 251, rue Saint-Honoré) en 1925 : au Louxor (parmi les attractions de l’entracte), et à l’Alhambra, puis à Alger en 1920 et 1924 (relaté in Les Annales Africaines), à Arcachon en 1928, à Sidi-Bel-Abbès en 1929.
Elle était domiciliée à Herstal (40040, Belgique), 33, rue Haute-Maison et à Paris, 46 Faubourg Saint-Martin.
Elle proposait (en 1910) son programme aux directeurs de salles par le biais d’une carte postale (reproduite dans cette notice) – prospectus, à compléter, qui précisait au dos :
« Monsieur, Je viens vous offrir mon numéro et vous faire part de ma disponibilité.
Libre….
Actuellement….
Conditions…..
Dans le cas d’une affaire possible, réponse, et recevez Monsieur, mes respectueuses salutations ».
Bibliographie :
Richard Raczynski, Paris, Capitale de l’Art Magique, Dualpha, 2014.

NILUM à L’EDEN.


L’artiste (de cirque et de music-hall) français Joë Nilum (escapologiste) se produira notamment à Saint-Etienne dans la salle mythique de l’Eden (avec son répertoire de « cow-boy » habile au lasso et au lancé de poignards).
Une salle (sous la direction de Bonnardel né en 1882) où le public stéphanois applaudira notamment « La femme coupée en morceaux » (en 1920), Halfa l'évadé perpétuel, et le magistral Hardy l’enchanteur.
Sur l’Eden (aujourd’hui disparu) :
Successivement : Eden Théâtre (1882-1933), Cyrano (1933-1938), Eden (1938-2003).
1882 : ouverture de l'Eden Théâtre, 1ère projection cinématographique en 1903.
Fermeture : 29 avril 2003.
Pour découvrir des témoignages sur la magie dans le Forez, on peut visiter le musée de Magidor : 39, route de la Varizelle, Saint-Chamond.
Horaires d'ouverture : Samedi : 14h - 19h et Dimanche : 9h - 12h et 14h - 19h.
(Fermé de mai à septembre).
Bibliographie :
Jean Gabriel, La Grande aventure de l'Eden, Imprilux, 1974.

mardi 11 août 2015

LA FANTASMAPARASTASIE.


Depuis le pavillon de l’Echiquier (dans le Xe arrondissement), les frères Aubée remplacèrent avec zèle l’ancien protagoniste des lieux, le fameux Robertson (qui avait emménagé rue de La Paix) et proposèrent des spectacles de « Fantasmaparastasie » (un terme en un seul mot, qu’ils furent les seuls à utiliser, et qui sera repris de nos jours par un artiste musicien).
Ils connaissaient tous les rouages de la fantasmagorie puisqu’ils étaient les anciens employés du magicien…
Malgré ce changement d’appellation (pour masquer des spectacles de fantasmagorie) Robertson déposa un brevet puis attaqua (un peu tardivement) ses successeurs pour plagiat.
Malheureusement les joutes des deux parties concoururent à porter aux yeux du public toutes les subtilités des trucages utilisés.
Le masque tombait, laissant ces procédés orphelins de leur public crédule.
« D’après l’exposé que vous avez fait de la contestation qui existe entre les citoyens Aubée, Clisorius et moi, ne semblerait-il pas que ces faibles imitateurs m’ont précédés ?
Voici le fait : puisse-t-il rendre vos lecteurs moins confiants que je ne l’ai été dans le choix
des personnes qui les servent.
Lorsque j’offris mes illusions d’optique en l’an VI, au Pavillon de l’Echiquier, tout Paris sait que je n’avais point de concurrent. Les deux frères Aubée travaillaient chez moi. Ce fut après le transport de mon établissement dans la cour des Capucines, où je suis encore, et pendant le voyage que je fis pour occuper la chaire de physique de mon département, que, bravant toute pudeur, ils vinrent, par le conseil de leur père, s’établir dans le local même que je venais
de quitter. Il suffit pour convaincre vos lecteurs, de remettre sous leurs yeux l’extrait du journal des Petites-Affiches , du 15 pluviôse an VII,
n°155.
« Avis :
Le citoyen Robertson dénonce à l’opinion publique le nommé Martin Aubée, garçon menuisier, et son frère, qui, salariés chez lui à 2 francs par jour, pour les ouvrages manuels de leur état, après avoir abusé de sa confiance , ont l’impudeur de s’annoncer
au pavillon de l’Echiquier, comme ses élèves, etc. »*
Mais pour les copieurs, le champ était libre, et d’éphémères petits théâtres de bois virent le jour le long des quais de la capitale, popularisant le genre à outrance, contribuant rapidement à sa disparition.
Bibliographie :
* Observateur des spectacles, A Paris, de l’Imprimerie des anciennes Petites affiches, rue Neuve S. Augustin, maison de la Correspondance nationale et étrangère, lundi 10 prairial, An X.
Richard Raczynski, Paris, Capitale de l’Art Magique, Dualpha, 2014.

lundi 10 août 2015

STANISLAS FOX (1976).


Le maître de l’illusion.
Personnage (prestidigitateur) créé par Jean Sanitas (pour le texte, dit Jean Sani, écrivain, poète, essayiste, journaliste, grand reporter et auteur de bande dessinée français, né à Clermont-Ferrand le 6 novembre 1927) qui participa à la création et au développement de Pif, et l’excellent Pierre Le Guen (né à Versailles le 12 janvier 1929, collaborateur aux éditions Vaillant dès 1950, dessinant Hourrah Freddy, Nasdine Hodja et Jacques Flash en 1953) dans un style proche de Paul Gillon (1926-2011).
Trois parutions successives dans Pif (Vaillant) durant l’année 1976 :
« La maison de l’épouvante, Bas les masques, Le clown aux mains crochues ».
Dans le n°395 de Pif, du 1er octobre 1976, la couverture met en avant la prestidigitation (une inclinaison éditoriale constante tout au long de la saga Pif) avec Stanislas Fox.
Pif qui se mua à diverses reprises en habile magicien

vendredi 7 août 2015

Le musée magique de Tommy Stevens


Pour tous les inconditionnels de l'art magique, Le musée magique de Tommy Stevens (Adams magic show) est un lieu à découvrir.
Son site nous y invite : "Pour les curieux et amoureux de magie, la cité magique a ouvert un musée vraiment exceptionnel.
Plus de 400 documents, affiches et objets de magie sont exposés dans ce lieu".
Précisant :
"N'hésitez pas à nous téléphoner pour connaître les heures de visites"
Tél : 081 83 52 20 / 0475 741 942
www.citemagique.be
Mais cette véritable cité magique propose bien d'autres surprises....
Adresse C.M.N. : 49 Rue de Namur, 5380 Pontillas, Belgique.
E.mail : tommystevens@skynet.be
(sur autoroute E42 sortie n°10 (Hannut) - Dir Hannut +- 1 km)
Tel : 081 83 52 20 \ 0475 741 942

Les photos illustrant cette notice sont extraites du site de Tommy Stevens.